
[63] Hivernale 2009 = 30/01 au 2/02
Modérateur : lulu
- jac900
- C'est pas mal ici ...
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Et les cotes comment vont-elles?testi a écrit :même pas mal à la tête !ddtriple a écrit :alors, cette questche....
T'as passé une radio ou bien tu te soignes à la prune ?
Merci pour de ton organisation, même si les Lulus t'ont volés la vedette...

Un peuple qui est disposé à renoncer à un peu de sa liberté
pour un peu de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre.
Benjamin Franklin

pour un peu de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre.
Benjamin Franklin

- testi
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les côtes je les traite par le mépris, pis juste après je cours avaler un cacheton pour plus avoir mal. (genre là réveillé à 4h)jac900 a écrit : Et les cotes comment vont-elles?
T'as passé une radio ou bien tu te soignes à la prune ?
Merci pour de ton organisation, même si les Lulus t'ont volés la vedette...
pas vu de toubib.
t'as vu une organisation ce week-end ?

Les cons, ça ose tout ...
- Le Pouzal
- J'vais tous les pourrir !!!
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Les photos arrivent.
En attendant, v'là ma version de l'affaire :
Jusqu'au dernier moment, j'étais pas sûr de venir. J'avais préparé le terrain dans ma boite : vendredi, je pars à 16h00, histoire de descendre de Val avant la nuit et l'embacle (le gel de la neige fondue sur la route, quoi....
Evidemment, la veille, on a eu une méga fuite et un court circuit. Méthodiquement, je répare ce que je peux et j'arrête la fuite. Mon patron m'accorde ma liberté
Sauf que... vendredi matin, les piscinistes arrivent la gueule enfarinée pour vider le bassin et réparer une machine. A 15h, le bassin est réparé et il "suffit" d'attendre son remplissage pour ouvrir les filtres.
A 17h00, le bassin est plein. Et il fait nuit. Raté
A 18h00, les bagages sont sur Titine et les roues sont chaînées. Ben vi, pour quitter Val, j'ai 5 bornes de neige tassée et de glace à passer.
Je m'équipe. Pas de bol, avec le froid, ma gabardine en toile cirée devient toute dure (elle...) et est impossible à boutonner. Allez ouste, je la dégage.
Tant pis, j'aurais froid, mais au moins, j'arriverai à bouger
Je démarre, je monte sur Titine et je serre les fesses. Les 50 premiers mètres sont une jolie descente verglassée. Je stresse pour rien : Titine descend sans glissade ni dérobade. Me v'là rassuré, les chaînes fonctionnent tip top
Je traverse Val, sous les yeux ébahis des touriss', je passe les ornières glacées sans problème. Rhaa, ça fait plaisir
Sortie de Val : je déchaîne et je remballe. La descente n'est pas finie, maintenant, j'ai 60 km de routes de montagne jusqu'à Albertville. Il fait nuit, il fait -6°, la route est mouillée. Glups
Je roule aussi vite que les touriss' que je suis lâchement jusqu'à Bourg Saint Maurice.
A partir de là, la route est sèche. Alors je lâche les chevaux
Je rattrape le temps perdu sur une route que je connais par coeur. Un régal
A Albertville, je m'équipe complètement : gilet en duvet et surbottes fourrées. Les nouveaux sous vêtements techniques (Woolpower pour le T-shirt, la chemise et les chaussettes) sont géniaux : fin, mais hyper chaud. L'investissement est rentable
S'agit de faire de la borne : je prends donc l'autoroute. Je sais... Mais j'ai honte
Sur un aire, pendant un café chaud, un type m'aborde :
- c'est vous que j'ai croisé à Val ?
- euh... oui.
- ben dis donc ! Vous êtes fou ! Ca doit cailler, non ?
- euh... oui.
- bon, ben bonne route
Me v'là regonflé à bloc
La route jusqu'à St Etienne est comme tout trajet autoroutier : long, chiant et glacial
Les derniers 100km sont nettement plus rock & roll : des petites routes bien virolleuses en pleine forêt et en pleine montagne. Le premier col que je passe s'appelle "le col de la croix de l'homme mort"
à 1200m. Ca caille sévère : il est 23h00 , il fait froid et en plus, il fait humide. Mais la route ne glisse pas (trop). Je prends même le luxe de doubler des caisseux qui se traînent à 60km/h.
Les feux additionnels sont miracles : le faisceau est large et puissant. Je vois nettement les changements de revêtement, les zones sèche et les zones humides. Je ne me fait jamais surprendre. Bon bricolage
A 0h30, j'arrive au gite. La plupart des donfs sont au bar (normal
). Quelques uns m'accueillent. De toute façon, je suis groggy : pas loin de 5h de route, de froid et de nuit. J'ai encore le bruit du moteur dans les oreilles et les goudes vaillebeurécheun dans les bras et les pieds.
Mais je ne suis pas transit de froid. Vraiment bien ces fringues
On me nourrit et on me fait boire : la chaleur revient petit à petit. Les derniers verres d'alcool finissent par me réchauffer complètement. On m'annonce les dernières nouvelles :
JLuc au tas avec des côtes félées (encore !), la XT de RvB au tas avec le résé percé, Lulu à l'hosto avec une hémorragie cérébrale et Mme Lulu à l'étage en dessous avec un bassin cassé
Ben mon cochon, elle est sanglante, cette année, l'hivernale
L'alcool aidant, je finis par aller me coucher. Lâchement, je prends un lit, plutôt que de planter la tente : je suis trop naze pour chercher un emplacement
Le lendemain, après les formalités sociales d'usage (bonjour, ça va ? Oui ça va et toi ça va ? La moto va bien ? Bien dormi ? T'as fait quoi sur ta moto ? Elle bouffe pas un peu d'huile ? etc.), on décide d'aller voir les Lulu sur leur lit de mort à Clermont.
Webmat tente vainement de draguer l'hôtesse d'accueil qui ne fait que lui donner les n° des chambres des cadavres en sursit plutôt que son n° de téléphone.
On se perd dans les couloirs, mais on finit par trouver les Lulus.
Comme on est habillé Grand Froid et que l'hosto est surchauffé, on est en ébullition.
Jac900 est plus intéressé par les infirmières que par l'état de Lulu. Il drague à tout va dès qu'une blouse blanche passe devant la chambre. Ca doit faire longtemps qu'il dort sur la béquille
Webmat s'intéresse énormément à la santé de Lulu. Normal, c'est son boss. Faut qu'il assume ses arrières. Un peu de lèche favorise la stabilité salariale
Le passage chez Mme Lulu nous permet d'en apprendre un peu plus sur les circonstances de l'accident. En gros, Lulu a fait son cacou et a doublé un caisseux traîne-la-bite (pléonasme) dans un virage, sur une ligne blanche et sur une route verglacée. Couillu le Lulu
Du coup, Mme Lulu veut demander le divorce, pasque faire le con seul passe encore, mais mordel de berde, pas avec elle sur la selle passager ! Merde quoi !
Bilan : la Kawa pas trop esquintée, le lulu en perte de connaissance dans le fossé un long moment, puis incapable de faire des phrases cohérentes, puis focalisé sur des trucs insignifiants et incohérents, et Mme lulu d'abord capable de gambader, puis immobilisée par sa hanche cassée.
Bref, rien d'exceptionnel. Une hivernale banale, en somme
On retourne au gîte (ras le bol des hôpitaux, en plus les infirmières ont peur des motards : impossible d'en brancher une
). On boit, on mange, on boit et on boit encore. Une soirée motarde, quoi...
Ce soir, je plante la tente. De toute façon, je suis tellement plein que je dormirais n'importe où sans m'en rendre compte
Le lendemain, les départs sont comme les pets : perlés et bruyants. Les donfs partent les uns après les autres dans le bruit de leur pétrolettes aux pots NH.
Des donfs se préparent, d'autres se lavent, la grande majorité bricole ses tromblons toujours en panne.
On mange (encore), on boit (toujours) et on se prépare à repartir.
Grande discussion entre Jac et ma pomme sur l'itinéraire retour, vu qu'on va rouler ensemble. Je suis pour laisser le GPS tracer la route. Jac veut laisser sa carte tracer l'itinéraire. Comme je suis plus fort, c'est moi qui décide.
Du coup, on s'est perdu souvent
A part les demi-tours, le retour s'est bien passé. Les Monts du Lyonnais sont sympa à traverser, Jac a essayé de m'enculer avec le SR, un chevreuil a voulu tester mes réflexes et la résistance de la Tiger, le froid de la nuit a essayé de nous les geler sans succès, l'autoroute a essayer de nous endormir puis de nous mouiller avec de la pluie et de la neige. Le vent a essayé de me renverser à Bourg Saint Maurice, voire de m'enterrer dans des congères de neige.
Mais tout ça, sans succès, puisque on est rentré à bon port sans gamelle et sans casse.
Une misère, quoi...
Vivement l'année prochaine
En attendant, v'là ma version de l'affaire :
Jusqu'au dernier moment, j'étais pas sûr de venir. J'avais préparé le terrain dans ma boite : vendredi, je pars à 16h00, histoire de descendre de Val avant la nuit et l'embacle (le gel de la neige fondue sur la route, quoi....
Evidemment, la veille, on a eu une méga fuite et un court circuit. Méthodiquement, je répare ce que je peux et j'arrête la fuite. Mon patron m'accorde ma liberté

Sauf que... vendredi matin, les piscinistes arrivent la gueule enfarinée pour vider le bassin et réparer une machine. A 15h, le bassin est réparé et il "suffit" d'attendre son remplissage pour ouvrir les filtres.
A 17h00, le bassin est plein. Et il fait nuit. Raté

A 18h00, les bagages sont sur Titine et les roues sont chaînées. Ben vi, pour quitter Val, j'ai 5 bornes de neige tassée et de glace à passer.
Je m'équipe. Pas de bol, avec le froid, ma gabardine en toile cirée devient toute dure (elle...) et est impossible à boutonner. Allez ouste, je la dégage.
Tant pis, j'aurais froid, mais au moins, j'arriverai à bouger

Je démarre, je monte sur Titine et je serre les fesses. Les 50 premiers mètres sont une jolie descente verglassée. Je stresse pour rien : Titine descend sans glissade ni dérobade. Me v'là rassuré, les chaînes fonctionnent tip top

Je traverse Val, sous les yeux ébahis des touriss', je passe les ornières glacées sans problème. Rhaa, ça fait plaisir

Sortie de Val : je déchaîne et je remballe. La descente n'est pas finie, maintenant, j'ai 60 km de routes de montagne jusqu'à Albertville. Il fait nuit, il fait -6°, la route est mouillée. Glups

Je roule aussi vite que les touriss' que je suis lâchement jusqu'à Bourg Saint Maurice.
A partir de là, la route est sèche. Alors je lâche les chevaux


A Albertville, je m'équipe complètement : gilet en duvet et surbottes fourrées. Les nouveaux sous vêtements techniques (Woolpower pour le T-shirt, la chemise et les chaussettes) sont géniaux : fin, mais hyper chaud. L'investissement est rentable

S'agit de faire de la borne : je prends donc l'autoroute. Je sais... Mais j'ai honte

- c'est vous que j'ai croisé à Val ?
- euh... oui.
- ben dis donc ! Vous êtes fou ! Ca doit cailler, non ?
- euh... oui.
- bon, ben bonne route

Me v'là regonflé à bloc

La route jusqu'à St Etienne est comme tout trajet autoroutier : long, chiant et glacial

Les derniers 100km sont nettement plus rock & roll : des petites routes bien virolleuses en pleine forêt et en pleine montagne. Le premier col que je passe s'appelle "le col de la croix de l'homme mort"

Les feux additionnels sont miracles : le faisceau est large et puissant. Je vois nettement les changements de revêtement, les zones sèche et les zones humides. Je ne me fait jamais surprendre. Bon bricolage

A 0h30, j'arrive au gite. La plupart des donfs sont au bar (normal

Mais je ne suis pas transit de froid. Vraiment bien ces fringues

On me nourrit et on me fait boire : la chaleur revient petit à petit. Les derniers verres d'alcool finissent par me réchauffer complètement. On m'annonce les dernières nouvelles :
JLuc au tas avec des côtes félées (encore !), la XT de RvB au tas avec le résé percé, Lulu à l'hosto avec une hémorragie cérébrale et Mme Lulu à l'étage en dessous avec un bassin cassé


L'alcool aidant, je finis par aller me coucher. Lâchement, je prends un lit, plutôt que de planter la tente : je suis trop naze pour chercher un emplacement

Le lendemain, après les formalités sociales d'usage (bonjour, ça va ? Oui ça va et toi ça va ? La moto va bien ? Bien dormi ? T'as fait quoi sur ta moto ? Elle bouffe pas un peu d'huile ? etc.), on décide d'aller voir les Lulu sur leur lit de mort à Clermont.
Webmat tente vainement de draguer l'hôtesse d'accueil qui ne fait que lui donner les n° des chambres des cadavres en sursit plutôt que son n° de téléphone.
On se perd dans les couloirs, mais on finit par trouver les Lulus.
Comme on est habillé Grand Froid et que l'hosto est surchauffé, on est en ébullition.
Jac900 est plus intéressé par les infirmières que par l'état de Lulu. Il drague à tout va dès qu'une blouse blanche passe devant la chambre. Ca doit faire longtemps qu'il dort sur la béquille

Webmat s'intéresse énormément à la santé de Lulu. Normal, c'est son boss. Faut qu'il assume ses arrières. Un peu de lèche favorise la stabilité salariale

Le passage chez Mme Lulu nous permet d'en apprendre un peu plus sur les circonstances de l'accident. En gros, Lulu a fait son cacou et a doublé un caisseux traîne-la-bite (pléonasme) dans un virage, sur une ligne blanche et sur une route verglacée. Couillu le Lulu

Du coup, Mme Lulu veut demander le divorce, pasque faire le con seul passe encore, mais mordel de berde, pas avec elle sur la selle passager ! Merde quoi !

Bilan : la Kawa pas trop esquintée, le lulu en perte de connaissance dans le fossé un long moment, puis incapable de faire des phrases cohérentes, puis focalisé sur des trucs insignifiants et incohérents, et Mme lulu d'abord capable de gambader, puis immobilisée par sa hanche cassée.
Bref, rien d'exceptionnel. Une hivernale banale, en somme

On retourne au gîte (ras le bol des hôpitaux, en plus les infirmières ont peur des motards : impossible d'en brancher une

Ce soir, je plante la tente. De toute façon, je suis tellement plein que je dormirais n'importe où sans m'en rendre compte

Le lendemain, les départs sont comme les pets : perlés et bruyants. Les donfs partent les uns après les autres dans le bruit de leur pétrolettes aux pots NH.
Des donfs se préparent, d'autres se lavent, la grande majorité bricole ses tromblons toujours en panne.
On mange (encore), on boit (toujours) et on se prépare à repartir.
Grande discussion entre Jac et ma pomme sur l'itinéraire retour, vu qu'on va rouler ensemble. Je suis pour laisser le GPS tracer la route. Jac veut laisser sa carte tracer l'itinéraire. Comme je suis plus fort, c'est moi qui décide.
Du coup, on s'est perdu souvent

A part les demi-tours, le retour s'est bien passé. Les Monts du Lyonnais sont sympa à traverser, Jac a essayé de m'enculer avec le SR, un chevreuil a voulu tester mes réflexes et la résistance de la Tiger, le froid de la nuit a essayé de nous les geler sans succès, l'autoroute a essayer de nous endormir puis de nous mouiller avec de la pluie et de la neige. Le vent a essayé de me renverser à Bourg Saint Maurice, voire de m'enterrer dans des congères de neige.
Mais tout ça, sans succès, puisque on est rentré à bon port sans gamelle et sans casse.
Une misère, quoi...
Vivement l'année prochaine

Conditions de merde idéales
- jac900
- C'est pas mal ici ...
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- Moto : 900 sprint ;Tbird ;500SR
- Localisation : Savoie- Chambéry

Ben c'est sûr rien d'exceptionnel que Val ait le bassin brissé...avec tout ce que tu lui as fait subir... ASSASSIN !!!Le Pouzal a écrit : ...histoire de descendre de Val avant la nuit ...
...pour quitter Val, j'ai 5 bornes de neige tassée et de glace à passer...
...Je traverse Val, sous les yeux ébahis des touriss'...
...Sortie de Val :... je remballe...
plus loin
...- c'est vous que j'ai croisé avec Val ?
- euh... oui.
- ben dis donc ! Vous êtes fou !
- euh... oui.
pour finir
....Mme Lulu en dessous avec un bassin casséBen mon cochon, elle est sanglante, cette année,
![]()
...passage chez Mme Lulu ...
...Du coup, Mme Lulu veut demander le divorce...
...Mme lulu capable de gambader, puis immobilisée par sa hanche cassée...
Bref, rien d'exceptionnel.....

Un peuple qui est disposé à renoncer à un peu de sa liberté
pour un peu de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre.
Benjamin Franklin

pour un peu de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre.
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- jac900
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- Localisation : Savoie- Chambéry
Le Pouz
mais ce qui est marrant c'est qu'avant de la casser en 3 morceaux, tu l'appelles "Val" et après "Mme Lulu" ....
j' dis ça j'dis rien ...
par contre, comme


mais ce qui est marrant c'est qu'avant de la casser en 3 morceaux, tu l'appelles "Val" et après "Mme Lulu" ....
j' dis ça j'dis rien ...
par contre, comme
et que :Le Pouzal a écrit :
Mme Lulu veut demander le divorce,
ben... Val, On s'appelle...Le Pouzal a écrit : Jac900 est plus intéressé par les infirmières que par l'état de Lulu. Il drague à tout va dès qu'une blouse blanche passe devant la chambre. Ca doit faire longtemps qu'il dort sur la béquille![]()

Un peuple qui est disposé à renoncer à un peu de sa liberté
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