KAPOUÉÉÉÉÉ
Publié : 12/déc./13 - 14:55
Alors comme ça, il faut se présenter ? Bon ben, c'est parti !
Prénom : Lu
Surnom : Lu
Comme ça, c'est simple. Je pense que j'ai tout dit. Ha non, j'ai oublié de préciser que, bien entendu, je suis beau, grand, athlétique, pilote de génie, incroyablement intelligent, bourré d'humour, pas susceptible, et que le premier qui me contredit sur ce dernier point, il prend une baffe.
Motos déjà possédées à titre perso : Une Yamaha Fazer 600, une Yamaha TRX 850, une Triumph Speed Triple 955 Small Ass, une Cagiva 1000 V-Raptor puis une Aprilia RSV 1000 de 2002.
Mon boulot précédent m'a en revanche permis d'en rouler un bon paquet puisque j'étais payé pour les tester et dire ce que j'en pensais. Ouais, y a pire
Histoire de les découvrir en images, les voici. Si vous êtes si vieux que les petites images vous semblent floues, cliquez dessus, ça devrait aller mieux.
La première, surnommée Biscotte :
Revendue après 6 mois et un peu plus de 21 000 km à son guidon. Zéro chute. Un exploit pour un débutant. Mais rappelez-vous, j'suis un pilote de génie.
La suivante, surnommée Triscotte :
Là, elle est en version piste, après un changement de moteur (haaa, la légendaire fiabilité des moteurs de TRX/TDM) et donc dédiée à la piste. Pas tombé sur route (exploser une aile de voiture en remontant une file, je décrète que ça ne compte pas). En revanche, sur piste, il y en a eu deux belles. Pilote de génie, mais parfois optimiste.
La troisième. Petit nom, Cracotte (oui, ça devient n'importe quoi) :
Un modèle qui parlera forcément à la plupart d'entre vous. Pour le coloris, les avis sont généralement plus tranchés. Officiellement nommé Nuclear Red, il tire "un peu" sur le fuchsia. Mais cette moto avait quelque chose de magique. Revendue et rapidement regrettée même si j'ai adoré la suivante. Au compteur, en plus des 40 000 km de bonheur : une bonne pelle sur une plaque de verglas. Pilote de génie mais pas clouté.
Ensuite, passage à une fausse ritale. Sobriquet, Fragola (la fraise) :
Cadre MV Agusta, moteur de Suzuki TL 1000 S à boite raccourcie et gueule pas possible. Bref, un truc qui ne ressemble à rien (Thérèse n'est pas moche, elle n'a pas un physique facile) mais qui délivrait ses sensations de manière bien bourrine. Bref, un bon gros twin. Et fiable. Là, aucune chute. Toujours pas compris par quel miracle.
Et enfin, la seconde fausse ritale. Schiaffo (la claque) :
La claque parce que je ne trouve pas d'autre mot pour décrire ce que procure ce moteur (autrichien…) associé à une incroyable partie cycle quand on ouvre en grand. C'est l'actuelle. Jusqu'à quand ? Jusqu'à ce que je tombe comme une bouse sans doute. Mystère, même si j'ai déjà des idées pour ce qui pourrait suivre.
Bon, pour être franc, j'en ai une très bonne idée. Elle est même là depuis cette semaine.
Car il y a des feulements qui manquent, des sifflements qui, même des années après, résonnent encore et des courbes qui réussissent à tant vous envoûter qu'on se surprend à y penser alors que toutes les motos essayées ou possédées depuis auraient dû en effacer toute trace dans la mémoire.
Dès lors, quand l'occasion se présente de revendre l'Aprilia, comment ne pas regarder si un clone de celle qu'on n'a pas pu oublier n'est pas à vendre ? Et là… même couleur, même année. Forcément, le flash.
Direction Montpellier pour l'arracher à son proprio avant qu'il ne change d'avis. Une remontée (glaciale) plus tard, la belle est devenue auvergnate. Pardonnez la photo, prise dans le froid et à l'arrache avec un téléphone.
Bien évidemment, ce n'est pas exactement celle que j'ai possédée il y a 9 ans, mais ça fait "bizarre" de prendre une moto et de se sentir comme à la maison en 10 secondes. L'impression de retrouver un bout de moi et de me rappeler d'un seul coup pourquoi j'aime vraiment, vraiment, la moto. Et cette fois, c'est certain, je ne la laisserai pas partir.
Voilà, je pense avoir à peu près fait le tour. Qu'ajouter d'autre sinon que pour se rencontrer et boire un petit lait-fraise sur Montluçon, c'est quand vous voulez.
Lu.
Prénom : Lu
Surnom : Lu
Comme ça, c'est simple. Je pense que j'ai tout dit. Ha non, j'ai oublié de préciser que, bien entendu, je suis beau, grand, athlétique, pilote de génie, incroyablement intelligent, bourré d'humour, pas susceptible, et que le premier qui me contredit sur ce dernier point, il prend une baffe.
Motos déjà possédées à titre perso : Une Yamaha Fazer 600, une Yamaha TRX 850, une Triumph Speed Triple 955 Small Ass, une Cagiva 1000 V-Raptor puis une Aprilia RSV 1000 de 2002.
Mon boulot précédent m'a en revanche permis d'en rouler un bon paquet puisque j'étais payé pour les tester et dire ce que j'en pensais. Ouais, y a pire
Histoire de les découvrir en images, les voici. Si vous êtes si vieux que les petites images vous semblent floues, cliquez dessus, ça devrait aller mieux.
La première, surnommée Biscotte :
Revendue après 6 mois et un peu plus de 21 000 km à son guidon. Zéro chute. Un exploit pour un débutant. Mais rappelez-vous, j'suis un pilote de génie.
La suivante, surnommée Triscotte :
Là, elle est en version piste, après un changement de moteur (haaa, la légendaire fiabilité des moteurs de TRX/TDM) et donc dédiée à la piste. Pas tombé sur route (exploser une aile de voiture en remontant une file, je décrète que ça ne compte pas). En revanche, sur piste, il y en a eu deux belles. Pilote de génie, mais parfois optimiste.
La troisième. Petit nom, Cracotte (oui, ça devient n'importe quoi) :
Un modèle qui parlera forcément à la plupart d'entre vous. Pour le coloris, les avis sont généralement plus tranchés. Officiellement nommé Nuclear Red, il tire "un peu" sur le fuchsia. Mais cette moto avait quelque chose de magique. Revendue et rapidement regrettée même si j'ai adoré la suivante. Au compteur, en plus des 40 000 km de bonheur : une bonne pelle sur une plaque de verglas. Pilote de génie mais pas clouté.
Ensuite, passage à une fausse ritale. Sobriquet, Fragola (la fraise) :
Cadre MV Agusta, moteur de Suzuki TL 1000 S à boite raccourcie et gueule pas possible. Bref, un truc qui ne ressemble à rien (Thérèse n'est pas moche, elle n'a pas un physique facile) mais qui délivrait ses sensations de manière bien bourrine. Bref, un bon gros twin. Et fiable. Là, aucune chute. Toujours pas compris par quel miracle.
Et enfin, la seconde fausse ritale. Schiaffo (la claque) :
La claque parce que je ne trouve pas d'autre mot pour décrire ce que procure ce moteur (autrichien…) associé à une incroyable partie cycle quand on ouvre en grand. C'est l'actuelle. Jusqu'à quand ? Jusqu'à ce que je tombe comme une bouse sans doute. Mystère, même si j'ai déjà des idées pour ce qui pourrait suivre.
Bon, pour être franc, j'en ai une très bonne idée. Elle est même là depuis cette semaine.
Car il y a des feulements qui manquent, des sifflements qui, même des années après, résonnent encore et des courbes qui réussissent à tant vous envoûter qu'on se surprend à y penser alors que toutes les motos essayées ou possédées depuis auraient dû en effacer toute trace dans la mémoire.
Dès lors, quand l'occasion se présente de revendre l'Aprilia, comment ne pas regarder si un clone de celle qu'on n'a pas pu oublier n'est pas à vendre ? Et là… même couleur, même année. Forcément, le flash.
Direction Montpellier pour l'arracher à son proprio avant qu'il ne change d'avis. Une remontée (glaciale) plus tard, la belle est devenue auvergnate. Pardonnez la photo, prise dans le froid et à l'arrache avec un téléphone.
Bien évidemment, ce n'est pas exactement celle que j'ai possédée il y a 9 ans, mais ça fait "bizarre" de prendre une moto et de se sentir comme à la maison en 10 secondes. L'impression de retrouver un bout de moi et de me rappeler d'un seul coup pourquoi j'aime vraiment, vraiment, la moto. Et cette fois, c'est certain, je ne la laisserai pas partir.
Voilà, je pense avoir à peu près fait le tour. Qu'ajouter d'autre sinon que pour se rencontrer et boire un petit lait-fraise sur Montluçon, c'est quand vous voulez.
Lu.
le reste j'm'en tape j'ai beaucoup mieux à la maison 
